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Category : Conference

Dr Patrice Margossian
AFI, Paris, 3 octobre 2013

Patrice Margossian, Chirurgien dentiste à Marseille, est spécialisé dans l’Implantologie dentaire, ainsi que les aménagements osseux et tissulaires (greffes osseuses intra sinusiennes, greffes d’apposition, greffes de gencives) parfois indispensables avant la pose des implants dentaires.

Dr Patrice Margossian
Alpha-Omega, Marseille, 17 septembre 2013

Spécialisé en Implantologie, prothèse implantaire, greffes osseuses et greffes gingivales, le Docteur Patrice Margossian est installé comme Chirurgien dentiste à Marseille, sur l’avenue du Prado.

P. Margossian
Congrès Nobel Biocare, New York, 20 juin 2013

Le Docteur Patrice Margossian est Chirurgien dentiste à Marseille, spécialisé dans les implants dentaires, greffes osseuses, greffes de sinus et greffes de gencive

P. Margossian
ACDRA (Association des Chirurgiens dentistes de la Région d’Aubagne), Marseille, 13 juin 2013

Le Dr Patrice Margossian, Chirurgien dentiste installé à Marseille, est spécialisé en Implantologie dentaire, greffes osseuses, greffes sinusiennes et greffes gingivales


P. Margossian
Journées dentaires de Nice, 5 juin 2013

PROTHÈSE
CFAO-Empreinte optique
Responsables scientifiques :
Yves Allard, Valérie Pouyssegur

Christian MOUSSALY
De l’empreinte optique jusqu’à la réalisation de la prothèse au cabinet.

Patrice MARGOSSIAN
La CFAO en dentisterie : faudra-t-il changer nos habitudes ?

Christian MOUSSALY
L’empreinte optique permet au praticien d’obtenir, au fauteuil, une image tridimensionnelle d’une ou plusieurs dents grâce à un système optique couplé à un ordinateur. À partir de cette empreinte optique, un logiciel spécifique élabore un maître modèle virtuel permettant de réaliser les étapes de conception et fabrication assistées par ordinateur (CFAO).
En CFAO semi-directe ou en CFAO directe l’usinage pourra respectivement se concevoir soit au laboratoire de prothèse soit directement au cabinet.

Patrice MARGOSSIAN
Les protocoles de réalisation au laboratoire sont en réelle mutation, grâce à la substitution progressive des techniques artisanales par des techniques de CFAO. Les empreintes optiques permettent d’avoir une chaîne totalement numérique depuis d’enregistrement jusqu’à la réalisation des éléments prothétiques. Le matériel actuel à notre disposition nous permet-il d’obtenir les mêmes résultats qu’avec les élastomères ? La mise en oeuvre au cabinet est-elle aussi simple que ce qu’il y parait ? Quelles sont les impressions des patients ? Enfin quel en est le cout ? L’objet de cette conférence sera de répondre à ces questions afin d’aider chacun d’entre nous à se positionner face à ces nouvelles technologies.

Le Docteur Patrice Margossian est Chirurgien dentiste à Marseille, spécialisé dans les implants dentaires, greffes osseuses, greffes de sinus et greffes de gencive.

P. Margossian
Académie du sourire, Aix-en-Provence, 10 mai 2013

Chirurgien dentiste à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est spécialisé dans les greffes osseuses et gingivales et les implants dentaires, notamment les techniques d’extraction, implantation et mise en fonction immédiate.

P. Margossian
Congrès d’Orthodontie, Marseille, 17 avril 2013

Chirurgien dentiste à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est spécialisé dans les reconstructions osseuses et gingivales (greffes) et l’Implantologie orale. Il maîtrise notamment les techniques d’extraction, implantation et mise en charge immédiate.

P. Margossian
SOP, Paris, 11 avril 2013

Les dogmes et leur valeur scientifique (par Patrice Margossian et Philippe Russe)

LES PATIENTS

Le tabac ; il est recommandé d’en proscrire l’usage, même s’il ne constitue pas une contre-indication absolue sur le plan médico-légal.

La maladie parodontale ; elle majore la péri-implantite et la perte osseuse. Les biphosphonates représentent un risque réel.
La vitamine D ; elle aurait un rôle essentiel dans la cicatrisation. Il est nécessaire de supplémenter les patients âgés de plus de 65 ans. Pour le cholestérol, le LDL est responsable d’un retard de cicatrisation.

QUEL IMPLANT POSER ?

Les implants courts sont dits « à risque », mais cela n’est pas vérifié par la littérature. Le taux de survie augmente avec la longueur, mais pas avec le diamètre. Il est recommandé d’éviter les forces obliques et les implants courts en titane lisse.

Les implants angulés ont un bon pronostic selon la littérature. Les petits diamètres seront utilisés pour le remplacement des incisives mandibulaires ou des latérales maxillaires.

Les microspires limiteraient la perte osseuse marginale, mais cette hypothèse n’est pas corroborée par la littérature. Les études montrent qu’elles augmentent la concentra- tion de stress dans l’os.

Pour le type de connexion, si on considère les avantages et les inconvénients, la différence entre les connexions internes et externes n’est pas importante. Ce qu’il faut retenir, c’est que le dévissage est plus important si on n’utilise pas de clé dynamométrique.

QUELLE TECHNIQUE CHIRURGICALE ?

La position de l’implant : le point d’impact doit respecter les distances de sécurité et le volume osseux. L’émergence de la vis doit se faire au niveau de la table occlusale. Le col de l’implant doit être juxta ou légèrement infra-osseux.

Un temps ou deux temps : selon la littérature, il n’y a pas de différence significative entre les deux techniques. Cependant, c’est la deuxième phase qui permet de gérer l’optimisation des tissus mous. D’autre part, s’il n’y a pas de bonne stabilité primaire ou si le patient est porteur d’une PAP, mieux vaut choisir la technique en deux temps. En cas d’operculisation, il faut anticiper la phase 2. La mise en charge : il y a 30 ans, selon le dogme, il fallait attendre six mois avant de mettre en charge. Aujourd’hui, la mise en charge immédiate ne pose pas de problème à la mandibule. En revanche, au maxillaire, il y a une insuffisance de niveau de preuve.

L’EMPREINTE


Le porte-empreinte : selon le dog- me, il convenait d’utiliser un porte- empreinte ouvert. Ouvert ou fermé, il est aujourd’hui recommandé d’utiliser le porte-empreinte le plus rigide possible.
Les transferts : plus ils ont une forme anguleuse, meilleurs sont les résultats.

Les matériaux : plus la rigidité après prise est importante, meilleurs sont les résultats.


LES PILIERS

Selon le dogme, les piliers devaient être en titane. Une étude de 2008 affirme que les deux matériaux de choix sont le titane et la céramique. Les études récentes montrent une convergence sur l’intérêt des implants platform switchés. Démonter plusieurs fois les piliers de cicatrisation déstabilise la néoadhésion. Il faut donc éviter la manipulation des composants sous-gingivaux et utiliser un pilier unique.

Les études attestent que des piliers de forme concave en vestibulaire préservent une épaisseur nécessaire de tissu. Au palais, la forme droite est la plus adéquate et la plus aisée pour le nettoyage. En proximal, le but est de maintenir les papilles, et les formes anatomiques à dominance concave sont donc à favoriser.

On remarque que, pour la prothèse scellée, les complications sont plutôt d’ordre biologique et, pour la vissée, plutôt mécanique. Il est conseillé de se diriger vers la vissée lorsque les restaurations sont étendues. Lorsque l’on utilise une prothèse scellée, il faut se concentrer sur l’élimination des excès de ciment.

La dent sous contraintes s’enfonce beaucoup plus que l’implant. La meilleure solution est le bridge implanto-porté pur. Si l’on doit réaliser un bridge dent/implant, les recommandations actuelles préconisent de lier très rigidement les dents et les implants. En cas de désolidarisation, l’axe de rotation doit être sur l’implant.

Il n’y a pas de lésions osseuses notables sur les implants supportant un cantilever mais, pour des raisons mécaniques, il faut préférer les solutions avec plusieurs implants quand elles sont envisageables.

Il faut avoir une occlusion axée sur le centre de la dent et exercer les contraintes de guidage par des fonctions de groupe sur les dents naturelles.

Le rapport inversé racine/couronne n’augmente pas le taux d’échec. Il est recommandé de solidariser les implants contigus lorsque le rap- port est défavorable et de ne pas dé- passer un rapport de 2 pour 1.
Il est donc conseillé de solidariser les implants dans les cas d’implants courts, de parafonction, d’os de faible densité et de restauration de grande étendue.

Il n’y a pas de contre-indications à prendre des clichés peropératoires dès lors qu’ils sont justifiés. Pour se prémunir de l’éruption continue, il faut faire attention à la fin du traitement orthodontique. Un guidage antérieur correct et une anticipation sont nécessaires.

Légendes des neuf photographies :

photo. 1-2

Utilisation d’un Procera® implant Bridge Zirconia direct pour garantir l’intégration esthétique
et biologique sur cet édentement antérieur mandibulaire.

photo. 3-4

La bonne position tridimensionnelle de l’implant est sans doute l’élément le plus important
de la réussite prothétique et du maintien
dans le temps des tissus péri-implantaires.

photo. 5-6

L’utilisation des implants étroits (Nobelactive® 3.0) permet une meilleure optimisation des espaces pour les latérales maxillaires ou les incisives mandibulaires. Davantage d’os est ainsi ménagé autour des implants, et des piliers plus anatomiques
qui améliorent
la réponse tissulaire peuvent être obtenus.

photo. 7-8-9

L’utilisation du profil d’émergence, validé sur le provisoire, va permettre de transférer les informations
sur les formes de contour de la prothèse d’usage
grâce à la technologie cFao Procera®.

Spécialisé en Implantologie, prothèse implantaire, greffes osseuses et greffes gingivales, le Docteur Patrice Margossian est installé comme Chirurgien dentiste à Marseille, sur l’avenue du Prado.

Comité scientifique: P. Missika, P. Limbour, P. Margossian, P. Russe
Congrès Implantologie de demain, Jeunes implantologistes, Paris, 31 janvier 2013

L’adage « il ne faut pas remettre à demain ce qu’on peut faire le jour même » illustre parfaitement la proposition de ce premier grand congrès dédié aux jeunes implantologistes. Organisé par l’Association Universitaire d’Implantologie, en partenariat avec Nobel Biocare, Présidé par le Pr Patrick Missika en collaboration avec les Drs Patrick Limbour, Patrice Margossian et Philippe Russe avec pour invité d’honneur le Pr Eric Rompen, Implantologie de Demain – Jeunes Implantologistes est le premier grand congrès dédié aux jeunes implantologistes. Plus qu’un événement conceptuel pour rassembler les jeunes générations, nous aurons une lecture didactique des applications de l’ostéointégration telles qu’elles sont enseignées au sein des programmes universitaires et post-universitaires. La rigueur scientifique et clinique apportées par les conférenciers aux différentes réflexions thérapeutiques permettra à tous les cliniciens de valider leurs pratiques sous l’angle du raisonnement. Ces nouveaux noms de la dentisterie implantaire confronteront leurs opinions à celles des aînés et leurs prestations à celle d’un orateur chevronné, Philippe Russe. La pertinence des jeunes talents sera soumise à votre évaluation et celle du comité de sélection présidée par le Pr. Patrick Missika.

Le Dr Patrice Margossian, Chirurgien dentiste installé à Marseille, est spécialisé en Implantologie dentaire, greffes osseuses, greffes sinusiennes et greffes gingivales

P. Margossian
Alpha-Omega
Paris, 13 décembre 2012

Patrice Margossian, Chirurgien dentiste à Marseille, est spécialisé dans l’Implantologie dentaire, ainsi que les aménagements osseux et tissulaires (greffes osseuses intra sinusiennes, greffes d’apposition, greffes de gencives) parfois indispensables avant la pose des implants dentaires.