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P. Margossian
Anthogyr, Strasbourg, 27 avril 2017

Retrouvez le Dr Patrice MARGOSSIAN le Jeudi 27 avril 2017 à Strasbourg pour la conférence Extraction – Implantation et Mise en fonction immédiate.

« L’objectif de cette séance est de présenter des protocoles chirurgicaux et prothétiques simples et efficaces, afin d’éviter à vos patients des prothèses amovibles handicapantes.
L’analyse diagnostique esthétique et fonctionnelle sera l’étape clé de ce type de thérapeutique afin de pré-visualiser le projet prothétique final. »

“Les prothèses amovibles sont les restaurations qui génèrent le plus de mécontentement et d’inconfort chez nos patients. Des solutions fixées sur implants sont toutefois possibles et permettent, grâce aux protocoles d’extraction implantation et mise en fonction immédiate d’offrir à nos patients une prothèse fixe le jour-même de la chirurgie.“

• Une première partie de cette présentation exposera, au travers de photos et de vidéos, la phase chirurgicale allant du positionnement des implants jusqu’à la mise en place de la prothèse transitoire fixée.
• La seconde partie traitera de l’aspect prothétique, en mettant en avant l’intérêt de l’utilisation de la CFAO et le choix des matériaux. L’objectif final étant bien entendu la reconstruction ad-integrum de l’aspect fonctionnel et esthétique du sourire.

Apprenez des protocoles chirurgicaux et prothétiques simples et efficaces, afin d’éviter à vos patients des prothèses amovibles handicapantes.

Installé à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est Chirurgien dentiste spécialisé dans les implants dentaires, greffes osseuses, greffes de sinus et greffes de gencive

P. Margossian
AEU d’Implantologie, Université de Lyon, 7 avril 2017

Installé à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est Chirurgien dentiste spécialisé dans les implants dentaires, greffes osseuses, greffes de sinus et greffes de gencive

La prothèse totale implanto-portée en 2017

P. Margossian, C. Authelain ADFOC des Savoie, Annecy, 23 mars 2017 Appréhender l’édenté total en 2017 L’édentement total concernerait plus de 5 millions de personnes en France selon les dernières estimations. Ces personnes vivent leur pathologie comme un inconfort, mais aussi, pour la plupart d’entre elles, comme un réel handicap. Lorsqu’elles deviennent nos patients, nous nous attelons à traiter l’aspect fonctionnel en occultant parfois les aspects psycho-sociaux. L’ADFOC de Savoie s’est engagée à porter un nouveau regard sur l’édenté total […]

P. Margossian
AEU, Faculté d’Odontologie, Lyon, 11 mars 2016

Le Dr Patrice Margossian, Chirurgien dentiste installé à Marseille, est spécialisé en Implantologie dentaire, greffes osseuses, greffes sinusiennes et greffes gingivales

P. Margossian
Congrès scientifique de l’UNECD (Union Nationale des Etudiants en Chirurgie Dentaire), Marseille, 3 juillet 2015

Programme scientifique de l’UNECD

«Extraction Implantation Mise en fonction immédiate» Dr Patrice MARGOSSIAN, Université d’Aix-Marseille

Les prothèses amovibles sont les restaurations qui génèrent le plus de mécontentement et d’inconfort chez nos patients. Des solutions fixées sur implants sont toutefois possibles et permettent, grâce aux protocoles d’extraction implantation et mise en fonction immédiate, d’offrir à nos patients une prothèse fixe le jour-même de la chirurgie.

L’objectif de cette séance est de présenter des protocoles chirurgicaux et prothétiques simples et efficaces, afin d’éviter à nos patients cette situation de handicap. L’analyse diagnostique esthétique et fonctionnelle est l’étape clé de ce type de thérapeutique afin de pré-visualiser le projet prothétique final. Différentes situations cliniques illustreront tous les types d’édentement et leurs approches spécifiques.

Pour les arcades complètes, nous argumenterons en fonction du niveau de résorption et de l’anatomie de l’étage inférieur de la face, notre choix de reconstruction en émergence naturelle ou avec une fausse gencive.

Une première partie de cette présentation exposera, au travers de photos et de vidéos, la phase chirurgicale allant du positionnement des implants jusqu’à la mise en place de la prothèse transitoire fixée. La seconde partie traitera de l’aspect prothétique, en mettant en avant l’intérêt de l’utilisation de la CFAO et le choix des matériaux.

L’objectif final étant bien entendu la reconstruction ad-integrum de l’aspect fonctionnel et esthétique du sourire.

« Intérêt de la mise en place immédiate d’implants après extraction dans le résultat esthétique de la prothèse » Dr Patrick MISSIKA, Université de Paris Descartes

La mise en place immédiate d’implants après extraction est une technique parfaitement codifiée qui donne d’excellents résultats. Cette technique semble entraîner une cicatrisation osseuse plus rapide qui pourrait s’expliquer par la vascularisation du site osseux provoquée par l’extraction, l’ouverture des espaces médullaires et le moindre échauffement de forage. Le résultat esthétique est exceptionnel dans la majorité des cas car l’implant est situé dans la position d’origine de la dent naturelle. Elle apporte enfin un avantage psychologique par remplacement immédiat d’une dent perdue, en n’allongeant pas inutilement la durée globale du traitement.

Si l’indication est bien posée, la simplicité de la technique de mise en place immédiate d’un implant dans un site d’extraction doit faire envisager cette éventualité face à une indication d’extraction en pratique quotidienne. Les avantages très significatifs et les résultats positifs obtenus plaident en faveur de cette technique.

La mise en place immédiate d’un implant après extraction, constitue une technique chirurgicale de pointe de chirurgie reconstructrice pour obtenir un environnement osseux et gingival favorable autour d’un implant stable avec un excellent pronostic.

« La simulation par éléments finis appliquée aux reconstitutions corono-radiculaires » Pr Marc BOLLA, Université de Nice-Sophia Antipolis

La simulation numérique est un outil d’analyse et d’étude de plus en plus utilisé dans de nombreux secteurs d’activités, et peut donc trouver son intérêt en odontologie dans le comportement de pièces telles que les prothèses, implants et/ou ancrages radiculaires. Cette simulation par éléments finis consiste à réaliser l’étude virtuelle d’une pièce, puis par l’intermédiaire de logiciels puissants, de prédire son comportement sans avoir à passer par la construction de prototypes ou la réalisation d’essais réels.

A partir d’une dent monoradiculée réalisée en 3D seront présentés les résultats de différentes sollicitations mécaniques (compression, cisaillement) sur la répartition des contraintes s’exerçant sur des dents reconstituées par des ancrages métalliques ou fibrés. Les résultats obtenus permettent d’en dégager des applications cliniques: matériau constitutif de l’ancrage, collage ou scellement, longueur et hauteur au niveau coronaire de l’ancrage, influence du point de contact, etc… Cette analyse mécanique par la méthode des éléments finis sera également envisagée pour des bridges de 3 éléments réalisés dans le secteur postérieur.

Evaluation des propriétés physiques des composites « bulk – fill » Dr Nathalie – BRULAT – BOUCHARD Université de Nice- Sophia Antipolis

Les composites « bulk-fill » sont des résines composites d’obturation coronaire permettant un «remplissageen un seul temps».

Ils sont divisés en 2 grandes familles en fonction de leur viscosité : les basses viscosités et les hautes viscosités. Les basses viscosités ou Flow sont des substituts dentinaires alors que les hautes viscosités sont condensables et utilisés pour obturer la totalité de la cavité. Ils sont différents des composites micro-hybrides car ils peuvent être photopolymérisés sur des épaisseurs de plus de 4 mm en un seul temps.

Leurs principales différences avec les composites micro-hybrides sont une diminution de leur contrainte de polymérisation et l’adjonction de photo-initiateursqui permettent à la lumière de pénétrer plus profondément dans le matériau. Ils sont recommandés pour les cavités profondes et peuvent donc être utilisés pour les reconstructions coronaires des dents dépulpées mais aussi pour les reconstructions corono-radiculaires.

L’ensemble des propriétés mécaniques, physiques et biologiques de ces matériaux sont dépendantes de la photo – polymérisation.

A travers l’étude de 8 composites «bulk-fill» nous verrons comment réaliser une évaluation de cette photo-polymérisation. Nous analyserons le degré de conversion (DC) de ces résines en fonction de la profondeur de polymérisation à travers un test de microdureté etune analyse en spectroscopie RAMAN. Puis grâce à un test en contrainte deflexion, nous pourrons avoir une évaluation de leur résistance à la fracture et de leur élasticité.

De la minéralisation à la déminéralisation, quel rôle joue les biomatériaux? Pr Brigitte GROSGOGEAT Université de Lyon

Diverses étiologies telles que la carie, l’érosion et les maladies parodontales peuvent être à l’origine d’un processus de déminéralisation qui a pour conséquence la destruction des tissus durs de la dent. La prévention et la mise œuvre de techniques non ou peu invasives pour lutter contre ce phénomène sont donc un enjeu majeur de santé publique.

Au travers de différents projets impliquant une étroite collaboration entre des chercheurs de différentes disciplines (Chimie, Physique, Sciences des matériaux, Biologie, et Odontologie), les différentes voies envisagées pour conduire à la reminéralisation des tissus dentaires minéralisés que sont l’émail, la dentine et le cément seront présentées.

Quelques exemples seront illustrés. Du projet européen BIODENSOL, conduit en partenariat avec l’industrie, à l’étude DECAT, Projet Hospitalier de Recherche Clinique réunissant la plupart des services d’Odontologie de l’Hexagone, le rôle important des étudiants et des jeunes confrères sera largement explicité. Outre l’analyse des résultats, l’un des objectifs de cette présentation sera de sensibiliser les participants à l’intérêt de la recherche et de leur montrer comment ils peuvent très concrètement y participer.

Place de la recherche en Odontologie. Pr Martine BONNAURE MALLET Université de Rennes

Après avoir défini la recherche en odontologie, sa raison, sa nécessité, la vision que s’en font les étudiants en chirurgie dentaire sera synthétisée. Nous aborderons les différents niveaux dans la recherche, les moyens pour y accéder, les attendus. A partir d’exemples et de l’expérience personnelle de Jacques-Olivier Pers, nous verrons que la recherche a toute sa place dans l’espace international et que les étudiants sont des acteurs à part entière.

Les indicateurs de la Recherche. Pr Jacques OLIVIER PERSUniversité de Brest

Évaluer la qualité de la recherche scientifique est essentiel dans une société où l’innovation et les progrès techniques dépendent en partie de la recherche académique. Les indicateurs tels que l’impact factor, l’h-index ou le score SIGAPS/SIGREC pour les hospitalo-universitaires jouent un rôle utile dans ce processus. Il est important de comprendre comment ils sont calculés et de connaître leurs limites, leurs alternatives et leurs dérives. En effet, tous ces scores sont actuellement utilisés par les instances d’évaluation afin d’établir les dotations de fonctionnement des équipes de recherche mais également des services d’odontologie.

P. Margossian
SOP, Paris, 11 avril 2013

Les dogmes et leur valeur scientifique (par Patrice Margossian et Philippe Russe)

LES PATIENTS

Le tabac ; il est recommandé d’en proscrire l’usage, même s’il ne constitue pas une contre-indication absolue sur le plan médico-légal.

La maladie parodontale ; elle majore la péri-implantite et la perte osseuse. Les biphosphonates représentent un risque réel.
La vitamine D ; elle aurait un rôle essentiel dans la cicatrisation. Il est nécessaire de supplémenter les patients âgés de plus de 65 ans. Pour le cholestérol, le LDL est responsable d’un retard de cicatrisation.

QUEL IMPLANT POSER ?

Les implants courts sont dits « à risque », mais cela n’est pas vérifié par la littérature. Le taux de survie augmente avec la longueur, mais pas avec le diamètre. Il est recommandé d’éviter les forces obliques et les implants courts en titane lisse.

Les implants angulés ont un bon pronostic selon la littérature. Les petits diamètres seront utilisés pour le remplacement des incisives mandibulaires ou des latérales maxillaires.

Les microspires limiteraient la perte osseuse marginale, mais cette hypothèse n’est pas corroborée par la littérature. Les études montrent qu’elles augmentent la concentra- tion de stress dans l’os.

Pour le type de connexion, si on considère les avantages et les inconvénients, la différence entre les connexions internes et externes n’est pas importante. Ce qu’il faut retenir, c’est que le dévissage est plus important si on n’utilise pas de clé dynamométrique.

QUELLE TECHNIQUE CHIRURGICALE ?

La position de l’implant : le point d’impact doit respecter les distances de sécurité et le volume osseux. L’émergence de la vis doit se faire au niveau de la table occlusale. Le col de l’implant doit être juxta ou légèrement infra-osseux.

Un temps ou deux temps : selon la littérature, il n’y a pas de différence significative entre les deux techniques. Cependant, c’est la deuxième phase qui permet de gérer l’optimisation des tissus mous. D’autre part, s’il n’y a pas de bonne stabilité primaire ou si le patient est porteur d’une PAP, mieux vaut choisir la technique en deux temps. En cas d’operculisation, il faut anticiper la phase 2. La mise en charge : il y a 30 ans, selon le dogme, il fallait attendre six mois avant de mettre en charge. Aujourd’hui, la mise en charge immédiate ne pose pas de problème à la mandibule. En revanche, au maxillaire, il y a une insuffisance de niveau de preuve.

L’EMPREINTE


Le porte-empreinte : selon le dog- me, il convenait d’utiliser un porte- empreinte ouvert. Ouvert ou fermé, il est aujourd’hui recommandé d’utiliser le porte-empreinte le plus rigide possible.
Les transferts : plus ils ont une forme anguleuse, meilleurs sont les résultats.

Les matériaux : plus la rigidité après prise est importante, meilleurs sont les résultats.


LES PILIERS

Selon le dogme, les piliers devaient être en titane. Une étude de 2008 affirme que les deux matériaux de choix sont le titane et la céramique. Les études récentes montrent une convergence sur l’intérêt des implants platform switchés. Démonter plusieurs fois les piliers de cicatrisation déstabilise la néoadhésion. Il faut donc éviter la manipulation des composants sous-gingivaux et utiliser un pilier unique.

Les études attestent que des piliers de forme concave en vestibulaire préservent une épaisseur nécessaire de tissu. Au palais, la forme droite est la plus adéquate et la plus aisée pour le nettoyage. En proximal, le but est de maintenir les papilles, et les formes anatomiques à dominance concave sont donc à favoriser.

On remarque que, pour la prothèse scellée, les complications sont plutôt d’ordre biologique et, pour la vissée, plutôt mécanique. Il est conseillé de se diriger vers la vissée lorsque les restaurations sont étendues. Lorsque l’on utilise une prothèse scellée, il faut se concentrer sur l’élimination des excès de ciment.

La dent sous contraintes s’enfonce beaucoup plus que l’implant. La meilleure solution est le bridge implanto-porté pur. Si l’on doit réaliser un bridge dent/implant, les recommandations actuelles préconisent de lier très rigidement les dents et les implants. En cas de désolidarisation, l’axe de rotation doit être sur l’implant.

Il n’y a pas de lésions osseuses notables sur les implants supportant un cantilever mais, pour des raisons mécaniques, il faut préférer les solutions avec plusieurs implants quand elles sont envisageables.

Il faut avoir une occlusion axée sur le centre de la dent et exercer les contraintes de guidage par des fonctions de groupe sur les dents naturelles.

Le rapport inversé racine/couronne n’augmente pas le taux d’échec. Il est recommandé de solidariser les implants contigus lorsque le rap- port est défavorable et de ne pas dé- passer un rapport de 2 pour 1.
Il est donc conseillé de solidariser les implants dans les cas d’implants courts, de parafonction, d’os de faible densité et de restauration de grande étendue.

Il n’y a pas de contre-indications à prendre des clichés peropératoires dès lors qu’ils sont justifiés. Pour se prémunir de l’éruption continue, il faut faire attention à la fin du traitement orthodontique. Un guidage antérieur correct et une anticipation sont nécessaires.

Légendes des neuf photographies :

photo. 1-2

Utilisation d’un Procera® implant Bridge Zirconia direct pour garantir l’intégration esthétique
et biologique sur cet édentement antérieur mandibulaire.

photo. 3-4

La bonne position tridimensionnelle de l’implant est sans doute l’élément le plus important
de la réussite prothétique et du maintien
dans le temps des tissus péri-implantaires.

photo. 5-6

L’utilisation des implants étroits (Nobelactive® 3.0) permet une meilleure optimisation des espaces pour les latérales maxillaires ou les incisives mandibulaires. Davantage d’os est ainsi ménagé autour des implants, et des piliers plus anatomiques
qui améliorent
la réponse tissulaire peuvent être obtenus.

photo. 7-8-9

L’utilisation du profil d’émergence, validé sur le provisoire, va permettre de transférer les informations
sur les formes de contour de la prothèse d’usage
grâce à la technologie cFao Procera®.

Spécialisé en Implantologie, prothèse implantaire, greffes osseuses et greffes gingivales, le Docteur Patrice Margossian est installé comme Chirurgien dentiste à Marseille, sur l’avenue du Prado.

P. Margossian
ADF
Paris, 28 novembre 2012

Le Docteur Patrice Margossian, Chirurgien dentiste à Marseille, est spécialisé dans les implants dentaires et la reconstruction osseuse et gingivale.

P. Margossian
DU Implantologie Nice
Nice, 27 avril 2012

Chirurgien dentiste à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est spécialisé dans les greffes osseuses et gingivales et les implants dentaires, notamment les techniques d’extraction, implantation et mise en fonction immédiate.

Démonstration TV direct
P. Margossian
ADP
Marseille, 29 mars 2012

Chirurgien dentiste à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est spécialisé dans les greffes osseuses et gingivales et les implants dentaires, notamment les techniques d’extraction, implantation et mise en fonction immédiate.

P. Margossian
AEU, Faculté Odontologie Lyon
Lyon, 24 mars 2011

Chirurgien dentiste à Marseille, le Docteur Patrice Margossian est spécialisé dans les greffes osseuses et gingivales et les implants dentaires, notamment les techniques d’extraction, implantation et mise en fonction immédiate.